Galerie
de photos sur le dialogue interreligieux
et la paix dans le monde
Exemples de contributions de la foi
baha'ie
au dialogue interreligieux dans le monde
* On ne trouve pas sur cette carte une concentration des baha'is dans un pays
particulier. En effet la communauté mondiale baha'ie, selon l'encyclopédie
Britanica, est présente dans 180 pays et territoires indépendant
avec des institutions démocratiquement élues. Elle compte près
de 6 millions de croyants composés de 2100 races et ethnies différentes.
La foi baha'ie est donc très dispersée tout autour de la terre dans
le but de représenter dans ses consultations toutes les sensibilités
de l'humanité.
Plus de 100 baha'is ont participé au Parlement des Religions du Monde en Afrique
du Sud, et beaucoup ont été intégralement impliqués dans son organisation et ses
opérations. Sur la photo un groupe de baha'is marchant dans le cortège d'ouverture
du Parlement avec sur la bannière écrits "Si puissant est la lumière de l'unité
qu'elle peut éclairer la terre entière." Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 11, article
3 / décembre 1999)
Photo 3: Le 12 juin 1999 à Cape Town en Afrique du Sud
Les communautés interreligieuses sont impliquées de longue date dans le combat
pour la justice en Afrique du Sud. Ici les représentants des diverses religions
ont rencontré le Président Nelson Mandela à sa résidence officielle pour discuter
de la participation des communautés religieuses dans l'assurance d'élections libres
et justes.
De gauche à droite: Lester Hoffman (représentant du Judaïsme), le curé Mxolisi
Mpambani, un prêtre anglican, Amy Seidel Marks (représentante de la communauté
baha'ie), le président Mandela, l'archevêque anglican Njongonkulu Ndungane de
Cape Town, et l'Imam Rashied Omar.
Les religions du monde se réunissent pour le dialogue et l'action, travaillant
dans le cadre établit lors du Parlement des Religions du Monde de 1993 à Chicago,
et cherchant à traduire en acte le dialogue interreligieux dans des activités
communes.
"Nous sommes convaincus que le mouvement interreligieux international est une
des particularités les plus importantes du monde moderne" a dit Jim Kenney, le
directeur international du Conseil pour le Parlement des Religions du Monde (CPWR),
et commanditaire associé de l'événement, avec le Parlement des Religions du Monde.
"Notre motivation dans la tenue du Parlement vient du fait, que le monde se réduit
et cette diversité est de plus en plus apparente" a dit M. Kenney. "Il y a vingt
ans, un habitant de l'ouest n'aurait jamais pu rencontrer un Bouddhiste ou un
Baha'i ou un Musulman ou un Hindou. Maintenant, en beaucoup d'endroits, les disciples
de toutes ces traditions vivent les uns à coté des autres."
Plus de 100 baha'is ont participé à ce Parlement et beaucoup ont été profondément
impliqués dans son organisation et ses opérations. Le docteur Marks par exemple,
le vice-président de ce Parlement, est baha'i, et environ 11 baha'is originaires
de différents pays du monde représentent la Foi baha'ie au sein de l'assemblée. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 11, article
3 / décembre 1999)
Photo 4: En janvier 1999 à Johannesburg
en Afrique du Sud
Des représentants du Dialogue entre les Religions Mondiales pour le Développement
à un séminaire de la Banque mondiale sur le thème "Valeurs, normes et pauvreté:
une Consultation sur le Rapport 2000/2001 de Développement du Monde". Le dialogue
entre la Banque mondiale et les religions mondiales suscite de nouvelles approches
à la pauvreté.
Pour des groupes religieux, le nouveau dialogue avec la Banque mondiale a stimulé
un niveau plus grand de compréhension interreligieuse et d'unité sur les questions
de pauvreté et de développement.
Le nouveau dialogue entre la Banque et les religions a formellement commencé lors
d'une réunion historique en février 1998, quand James Wolfensohn, le président
de la Banque mondiale, a invité les représentants des neuf principales religions
du monde au Palais Lambeth à Londres pour discuter comment la Banque et les religions
pourraient forger un nouveau rapport pour aider à aborder les problèmes de pauvreté
mondiale.
Matt Weinberg, le directeur de recherche pour le Bureau d'Information Publique
de la Communauté Internationale Baha'ie, a mis l'accent sur "les Valeurs Religieuses
et la Mesure de Pauvreté et la Prospérité", en suggérant que "l'amélioration de
la capacité de tous les membres d'une communauté à consulter" ensemble puisse
être un critère de mesure du succès dans l'évaluation du développement.
L'utilisation des méthodes consultatives dans le processus décisionnel peut mener
à de nouvelles solutions dans une communauté, et aboutir à une plus grande justice
dans la distribution des ressources d'un village. Cette méthode consultative a
tendance à impliquer et élever ceux qui ont historiquement été exclus du processus
décisionnel, comme les femmes et les minorités.
La présentation baha'ie a aussi souligné l'importance du développement des capacités
humaines, plus particulièrement dans le cadre des formations qui incluent aussi
l'éducation morale. "Omettre la dimension spirituelle ou morale reviendrait à
se priver de l'ingrédient clef dans la construction du tissu de la vie associative"
a dit M. Weinberg". Nous avons essayé d'aller au-delà de la reconnaissance de
l'importance des valeurs religieuses en soi, en montrant que l'intégration de
valeurs morales dans chaque initiative de développement est cruciale pour son
succès à long terme.
Ce serait cependant une simplification excessive de dire que la première réunion
de travail entre des religieux du monde et des spécialistes de la Banque mondiale
ait aboutis à une conclusion sur l'interdépendance entre les valeurs humaines
et les faits économiques pour mieux comprendre les causes et les remèdes de la
pauvreté. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 10, article
4 / janvier 1999)
Photo 5: Les 18-19 février 1998 au Palais Lambeth
à Londres
Participants au Dialogue inter religieux pour le Développement qui s'est tenu
au Palais Lambeth à Londres. Étaient présents des hauts responsables de la foi
Baha'ie, du Bouddhisme, du Christianisme, de l'Hindouisme, de l'Islam, du Jainism,
du Judaïsme, du Sikhism et du Taoïsme. Ensemble, ils ont représenté les traditions
religieuses suivies par une population évaluée à 3 milliards de personnes sur
terre.
De gauche à droite Kiser Barnes, le représentant de la foi baha'ie, l'Archevêque
du Cantorbéry, George Carey, et James Wolfensohn, le Président de la Banque mondiale,
au Palais Lambeth pendant les rencontres sur le Dialogue inter religieux pour
le Développement. M. Barnes, dont la formation de base concerne les lois internationales,
sert actuellement au Centre mondial baha'i à Haifa (Israël) en tant que Conseiller
International.
Les représentants des neufs principales religions du monde se rencontrent avec
le président de la Banque mondiale pour discuter du lien entre la religion et
le développement. Un nouveau facteur dans l'évaluation de projet.
Les représentants des religions du monde qui sont venus étaient eux-mêmes d'un
haut niveau de responsabilité, peut-être le niveau le plus haut jamais vu pour
une telle conférence inter-religieuse. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 9, article
4 / avril 1998)
Photo 6: Les 18-19 février 1998 au Palais Lambeth
à Londres
Participants au Dialogue inter religieux pour le Développement qui s'est tenu
au Palais Lambeth à Londres.Étaient présents des hauts responsables de la foi
Baha'ie, du Bouddhisme, du Christianisme, de l'Hindouisme, de l'Islam, du Jainism,
du Judaïsme, du Sikhism et du Taoïsme. Ensemble, ils ont représenté les traditions
religieuses suivies par une population évaluée à 3 milliards de personnes sur
terre. Une réunion peu commune entre des banquiers et des croyants.
Les représentants des neufs principales religions du monde se rencontrent avec
le président de la Banque mondiale pour discuter du lien entre la religion et
le développement. Un nouveau facteur dans l'évaluation de projet.
Les représentants des religions du monde qui sont venus étaient eux-mêmes d'un
haut niveau de responsabilité, peut-être le niveau le plus haut jamais vu pour
une telle conférence inter-religieuse. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 9, article
4 / avril 1998)
Photo 7: Les 18-19 février 1998 au Palais Lambeth
à Londres
Kiser Barnes, le représentant baha'i, a ouvert la session sur "la participation",
offrant quelques réflexions sur les valeurs spirituelles qui doivent soutenir
la volonté d'inclure la participation active de tous dans tous les efforts de
développement.
Les croyants et un banquier, de gauche à droite: le Rabbin Arthur Hertzberg, le
Sri Lanka Singh Sahib Manjit Singh, docteur George Carey, le Président de Banque
mondiale James D. Wolfensohn et docteur le Rajwant Singh. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 9, article
4 / avril 1998)
Photo 8: Les 18-19 février 1998 au Palais Lambeth
à Londres
Des leaders religieux se sont réunis avec le Président de Banque mondiale James
Wolfensohn, (rangée du fond quatrième de gauche) à Washington DC en novembre 1999
pour la deuxième réunion de sommet du Dialogue inter religieux pour le Développement
dans le Monde. Ce deuxième sommet entre la Banque mondiale et les religions du
monde s'est focalisée sur des projets concrets.
Les Participants ont reçus un rapport sur des récents efforts de développement
inter religieux en Ethiopie et Tanzanie, offrant un aperçu du type de projets
futurs attendus par le processus de Dialogue.
Environ 21 mois après un sommet extraordinaire au Palais Lambeth à Londres, les
représentants des principales religions du monde et des hauts fonctionnaires de
la Banque mondiale se sont réunis en novembre pour continuer leur "Dialogue" de
haut niveau pour trouver comment ils peuvent travailler ensemble afin de combattre
plus efficacement la pauvreté dans le monde.
Les participants ont dit de la réunion du groupe, qui est maintenant appelé le
Dialogue des Religions Mondiales pour le Développement (WFDD), a été marqué par
une atmosphère chaleureuse, un haut degré d'enthousiasme par toutes les parties,
et un grand sens de collaboration et d'engagement, permettant à la Banque et les
religions de mieux comprendre les défis du développement dans le monde.
Lawrence Arturo a représenté la foi Baha'ie. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 11, article
3 / novembre 1999)
Photo 10: En mai 1995 à Londres, Angleterre
Les leaders de neufs religions du monde se sont réunis à Londres pour un sommet
sur la conservation de la nature, marquant une nouvelle alliance dans ce domaine.
Les participants sont ici sur les marches de la Chapelle Saint George au Château
de Windsor. Pendant presque 1000 ans, ce complexe de bâtiments médiévaux et modernes
ont été une résidence pour la monarchie anglaise, chef-lieu du Christianisme Anglican. Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 7, article
1 / avril - juin 1995)
Photo 11: En mai 1995 à Londres, Angleterre
Le Sommet sur les Religions et la Conservation de la nature a été patronné par
le Fonds Mondial pour la Nature (WWF), la fondation Pilkington, et MOA International
(une fondation humanitaire japonaise). Les invité étaient les leaders de la foi
Baha'ie, du Bouddhisme, du Christianisme, de l'Hindouisme, du Jainism, du Judaïsme,
de l'Islam, du Sikhism et du Taoïsme.
De gauche à droite : HE Kushok Bakula, Madame Ruhiyyih Rabbani (représentante
de la Communauté Internationale Baha'ie), et Xie Zongxing (vice-président de l'Association
Taoist en Chine).
A Assise (rencontre inter-religieuse organisée par le pape en 1986), des représentants
de cinq religions du monde - le Bouddhisme, le Christianisme, l'Hindouisme, le
Judaïsme et l'Islam - ont promis de travailler, en grande partie dans leurs propres
communautés, afin de stimuler la conscience environnementale et l'établissement
de projets de conservation. En 1987, la foi Baha'ie a rejoint le réseau de religions.
Ces religions ont fait un travail énorme dans la promotion de la conservation
de la nature depuis Assise. Ils ont créés des nouveaux bureaux, finançant des
projets, et produisant du matériel de sensibilisation à la nature pour leurs écoles." Pour plus
de détail sur cette photo voir la page de la revue One Country (volume 7, article
1 / avril - juin 1995)
Photo 12: Les 17-21 décember 2000 à Jérusalem,
Israël
Conference sur les Religions Modernes à l'université Hébraique de Jérusalem, avec
ici un orateur de la Communauté Internationale Baha'ie.
Photo 13: Le 15 juin 2000 à Londres, Angleterre
Réception à la Chambre des lords sous la présidence du Rt. Hon en l'honneur du
Dr Bushrui (au centre), professeur de la Chaire Baha'ie pour la paix à l'Université
de Maryland aux USA, un nouveau poste universitaire de haut niveau pour l'étude
des conditions et la promotion de la paix dans le monde.
L'événement était une assemblée impressionnante d'ambassadeurs et de diplomates,
avec les Membres de la Chambre des Lords et la Chambre des Communes, les représentants
de plusieurs organisations culturelles, des savants, des poètes, des professeurs
d'université et un grand groupe de dignitaires arabes et des personnalités des
médias. Dans son introduction à l'événement, le Comte de Caithness a contribué
aux activités de la Chaire Baha'ie pour la Paix du Monde, plus particulièrement
dans ses initiatives liées à l'Année Internationale de l'ONU de la Culture de
Paix.
M. Bushrui met l'accent sur la nécessité d'une "nouvelle politique" fondée sur
les principes universels plutôt que sur des intérêts particuliers...
Site de la Chaire baha'ie pour la paix du monde
Photo 14: Le 20 févier 2002 à Stuttgart,
Allemagne
STUTTGART, Allemagne, le 20 février 2002 - En commémoration de la journée
mondiale de la religion plus de 400 personnes se sont réunies le 20 janvier 2002
pour une discussion inter-religieuse sur le thème "Les religions contre la violence".
C'était une commémoration parmi les dizaines sinon les centaines de célébrations
de la journée mondiale de la religion qui se sont tenues, cette année, dans le
monde entier et auxquelles ont contribués les baha'is.
Instituée en 1950 comme essai pour favoriser la compréhension inter-religieuse,
la journée mondiale de la religion est maintenant commémorée dans le monde entier
le troisième dimanche de janvier.
À Stuttgart la commémoration était parrainée par la Communauté baha'ie d'Allemagne
et a eu lieu à Neues Schloss, un château du 18ème siècle construit par les rois
du Wurttemberg . Parmi les participants à la discussion sur le thème de la violence
religieuse, étaient présents Meinhard Tenné du Conseil central juif d'Allemagne
; le Dr Paul Köppler de l'Union bouddhiste d'Allemagne ; le Prof. Urs Baumann,
du département de théologie à l'université de Tübingen ; le Dr Nadeem Elyas président
du Conseil central musulman d'Allemagne ; le Dr Johannes Frühbauer de la Fondation
Hans Küng pour les éthiques du monde et Christopher Sprung de l'Assemblée spirituelle
nationale des baha'is d'Allemagne.
La discussion a porté sur les facteurs qui dans les religions favorisent la paix
aussi bien que sur leur potentiel à engendrer conflits et guerres. Tous étaient
d'accord sur le fait que les religions du monde, si elles sont vues dans leur
essence véritable, sont contre la violence. "La devise de la discussion était,
essentiellement, que les véritables croyants sont contre la violence et le terrorisme"
et "qu'ils devraient considérer sérieusement ce que leur foi leur dit" a dit M.
Sprung.
Les participants ont également noté que des revendications concurrentes de vérité
exclusive empêchent souvent les religions d'établir un climat d'harmonie et d'unité.
Le Prof. Baumann, théologien catholique, a dit que l'idée qu'une religion est
"l'unique chemin vers la vérité et le salut" a trop souvent été considérée comme
"le plus grand motif de violence", spécialement quand une telle revendication
se trouve institutionnalisée par un gouvernement ou des politiques.
Le Dr. Frühbauer a souligné l'urgence de reconnaître un ensemble de principes
éthiques communs à toutes les religions et cultures. Cet "ensemble minimal" devrait
être adopté en totalité par tous pour sauvegarder et encourager le progrès social
en ces temps de globalisation. M. Sprung a répondu en suggérant que les religions,
notamment, doivent élaborer ensemble "un ensemble maximal" de principes éthiques
et religieux communs, autrement la force sociale de toute religion disparaîtra.
Les représentants juifs et bouddhistes ont tous les deux évoqué la justice des
religions, disant que "les religions sont comme des cartes topographiques différentes"
donnant l'orientation à leurs adeptes. L'événement a été longuement rapporté dans
plusieurs journaux régionaux importants.
D'autres commémorations importantes de la journée mondiale de la religion ont
eu lieu le 20 janvier en Bulgarie notamment, en Mongolie, au Pakistan et aux États-Unis,
où de nombreuses communautés locales baha'ies ont parrainé des célébrations. Un
site web dédié à la Journée mondiale de la religion ( www.worldreligionday.com)
compte 15 pays qui ont programmé cette année des célébrations dont l'Albanie,
l'Australie, l'Autriche, le Canada, Hong Kong, l'Inde, l'Ireland, l'Italie, la
Nouvelle-Zélande, la Norvège, Panama, la Slovaquie, la Suisse, le Royaume-Uni
et Vanuatu.
En Bulgarie, environ 45 personnes se sont réunies au Centre national baha'i de
Sofia. Les participants comprenaient des adeptes de diverses religions, des académiciens
et des représentants d'organisations non-gouvernementales. Le programme comportait
la lecture de prières par des membres de différentes religions, baha'is, catholiques,
orthodoxes, hindous et musulmans. Après le programme de dévotion, Théodore Bourilkov,
membre de l'Assemblée spirituelle nationale des baha'is de Bulgarie qui parrainait
cet événement, a fait une conférence sur le thème "Tolérance religieuse - survol
historique et compréhension moderne".
En Mongolie, plus de 100 personnes se sont réunies à Ulan Bator pour célébrer
la journée. Des représentants de la foi baha'ie, du bouddhisme, du christianisme
et de l'islam étaient présents, ainsi que plusieurs personnalité gouvernementales
et quatre assistants du département des études religieuses de l'université nationale.
"Le thème de la réunion était l'unité de l'humanité et le programme consistait
en courtes prières de chaque foi, entrecoupées de musique sacrée et de brèves
causeries" a dit Dulamsuren, secrétaire de l'Assemblée spirituelle nationale des
baha'is de Mongolie qui parrainait l'événement, événement couvert par deux chaînes
de télévision nationales.
Au Pakistan plus de 50 personnes se sont réunies pour un programme à la salle
de conférences baha'ie de Karachi. Des membres de la communauté Zikri du Pakistan
y ont participé. La communauté Zihri est une secte pacifiste soufi de l'islam.
Aux États-Unis, des manifestations ont été programmées entre autre en Arizona,
Arkansas, Californie, Colorado, Floride, Illinois, Indiana, Louisiane, Minnesota,
Massachusetts, New Hampshire, New York, Caroline du Nord, Oregon, Pennsylvanie
et Utah, selon le site web de la journée mondiale de la religion.
La journée mondiale de la religion a été instituée en 1950 par l'Assemblée spirituelle
nationale des baha'is des États-Unis. Les baha'is célèbrent la journée en organisant
des discussions, des conférences et autres évènements qui encouragent la compréhension
et la communication entre adeptes de toutes les religions. En 1985, le Gouvernement
du Sri Lanka a émis un timbre postal en commémoration de cette journée.
Le but de la journée mondiale de la religion est d'attirer l'attention sur l'harmonie
des principes spirituels et sur l'unité des religions du monde et de faire ressortir
qu'une religion mondiale sera la force motivante de l'unité du monde. Comme mentionné
dans les Écrits baha'is, "La religion devrait être une cause d'amour et d'accord,
un lien pour unir toute l'humanité car, c'est un message de paix et de bon vouloir
de Dieu aux hommes" et "la religion est le plus grand de tous les moyens pour
l'établissement de l'ordre dans le monde et pour la tranquillité de tous ceux
qui y habitent."